***   Offre d'achat accepté, il reste à notariée la transaction   ***

Copropriété indivise

Charmant condo au 3e et dernier étage, unité de coin avec une magnifique vue sur les montagnes. Situé au coeur du Vieux-Québec intra-muros sur le site du patrimoine mondial de l'UNESCO, idéal pour ceux qui apprécient le style de vie urbain, à proximité de tous les services. Tout près de la rue Saint-Jean avec ses nombreux commerces et restaurants.

La Maison de la littérature (bibliothèque) se trouve à quelques minutes à pied.

Caractéristiques 

• Belle luminosité avec grande fenestration.
• Chambre des maîtres    
    - vue apaisante sur les montagnes 
• Cuisine rénovée
     - comptoir de granit
     - réfrigérateur encastré (Liebherr)
     - plaque de cuisson digitale (AEG)
     - four à micro-ondes avec hotte    
     - four encastré 
     - lave-vaisselle 
• Salle de bain rénovée    
     - chauffage électrique (convecteur électronique SILVC de Stelpro)
     - robinetterie thermostatique pour le bain/douche    
     - hotte silencieuse 
     - écran de bain pivotant, rétractable, extensible  (Verdi de Zitta)
     - Laveuse frontale    
     - Sécheuse à condensation 
• Chauffage central à eau chaude scindé en deux(2) zones.
• Stationnement extérieur en mode enfilade accessible par la rue Christie

Finance

Quote-part actuelle du condo 35% (en révision à la baisse)

Voici un aperçu des frais estimés ;

taxe municipale $6805,50    $198,49/mois    
taxe scolaire    $560,38        $16,34/mois
ass. bâtiment   $1952,19       $56,03/mois
chauffage (3,5k litre)               $100/mois*

En considérant l'ensemble des dépenses (assurances, taxes, électricité, etc.) on peut estimer les frais fixes du condo autour de $425/mois pour 35% de quotes-parts.

*Les frais de chauffage varient selon la rigueur de l'hiver (nombre de litres d'huile consommé) et la variation de prix du pétrole.

Actuellement il y a un hypothèque de greffé au bâtiment par l'autre copropriétaire à la Caisse Populaire Desjardins Faubourg Saint-Jean, ce qui implique au besoin, un financement à cette institution bancaire (mise de fond pour condo indivise établi à 20% du prix de vente).

Copropriétaire

Nous sommes 2 copropriétaires et l'autre copropriétaire habite le bâtiment depuis 1966.

Une convention de copropriété a été créée lors de l'achat du 26-3 en 2003. Celle-ci est en révision afin de modifier des clauses pour l'arrivée du nouvel acquéreur. En fait, le moment est opportun pour celui-ci d'y ajouter son grain de sel.
Il y aura une clause qui interdira la location à court terme, seul une location annuelle avec bail sera toléré.

Inclusion

Luminaires, stores, électroménagers, laveuse, sécheuse, caillebotis du balcon. 

Prise de possession flexible.

* Les mesures des pièces sont approximatives. 

Note: hypothèque en indivision

L'article 1015 du Code civil du Québec prévoit que chaque copropriétaire indivis peut consentir seul une hypothèque sur sa part de l'immeuble. Ainsi, la dette de ce dernier à l'égard de son créancier se trouve garantie par une hypothèque qui ne s'exerce que contre les droits indivis (la quote-part) qu'il détient dans l'immeuble. Les autres copropriétaires n'ont pas à assumer la dette.    

Informations historiques du 26-28 rue Garneau

Cet immeuble résulte de multiples additions et transformations apportées à une maison individuelle de plan de masse, vraisemblablement construite par Antoine Paquet vers 1725. En 1781, la famille Paquet occupe toujours l'emplacement, selon l'Aveu et dénombrement du Séminaire de Québec.

En 1808, la maison apparaît sur la maquette de Jean-Baptiste Duberger (1767-1821) et John By (1779-1836). Son volume est alors relativement important, suggérant la présence de deux habitations mitoyennes.

Le 27 juin 1848, le maître-maçon Joseph Petitclerc fait exécuter des travaux de menuiserie et de charpenterie à une maison en pierre à un étage. Elle apparaît sur l'atlas des assureurs de 1875 avec une annexe d'un étage en bois à l'arrière, sur la rue Christie.

Le 6 mai 1910, Zéphirin Charron fait exécuter des réparations à la bâtisse. L'importance des travaux laisse supposer que la maison a pu être exhaussée à cette occasion. L'atlas de Charles Edward Goad (1848-1910) de 1910 montre désormais une maison de trois étages en pierre avec deux petites annexes en bois à l'arrière. Vers 1923, elle est utilisée comme maison de chambres.

En 1949, d'importantes transformations sont réalisées, suivant les devis de l'architecte Henri Talbot (1905-1996) afin d'aménager un atelier de reliure et deux logements dans l'immeuble.

Actuellement, la maison comporte trois étages et est coiffée d'un toit plat. Elle comprend une logette et des portes doublées d'une fenêtre latérale. Elle présente une composition formelle plutôt hétéroclite. L'occupation commerciale du rez-de-chaussée a certainement contribué à l'aspect singulier de ce niveau.

URL Patrimoine Culturel :
//www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=104688&type=bien